La note du suicide
On est a Paris a l'epoque presente. Un personnage saute de la tour Montparnasse. Deux agents de la PJ vont sur place faire le proces verbal. C'est incontestablement un suicide.Il y a une note sur la table de cuisine qui prouve qu'il n'est plus rattache a la vie.
Riveau et Jobert sont deux policiers moyens et grotesques dans leurs dialogues. Ils sont une caricature, mais c'est pas le plus important, enfin si car Jobert s'est empare du cahier intime de la vistime et il le lit alors qu'il est en poste a la police, ce qui revolte Riveau.On ne doit pas lire des choses personnelles de quelqu'un qui est mort!
Cependant un autre suicide vient corser leur affaire. A priori, ce n'est qu'un autre suicide. D'ailleurs les 2 policiers marquent leur ennui. "encore un suicide! C'est chiant les suicides!"
Mais Jobert remarque encore une fois une note sur la table de la nouvelle victime et remarque comme des ressemblances dans le style d'ecriture. L'ecriture est elle completement differente , on va meme analyse medico-legale de la graphologie, c'est bien ecrit par la victime. Il s'agit donc bien d'un suicide. L'affaire est bouclee.
Cependant Jobert ne croit pas a cette version des faits et veut continuer l'enquete quand meme. D'ailleurs plus il lit le cahier intime de Guillaume Boncoeur, ce qui revolte Riveau davantage d'ailleurs, plus il est persuade qu'il y a toute une histoire et un lien derriere ces deux victimes.